Actualités
VENEZ A L'ASSEMBLEE GENERALE
de la section vendredi 24 septembre
Rendez-vous à 8h30 à la salle Océane
725 rue des Violettes à Tartas
Plan d’accès et choix du menu ici convoc_AG_2021-1-3-1.pdf
Vous êtes invités à assister à notre Assemblée Générale pour faire le point sur la situation actuelle et avoir une vision de ce que pourrait être notre avenir.
L'AG est ouverte à toutes et à tous, adhérents et sympathisants.
Invitez vos collègues pour partager un bon moment de camaraderie !
Le 5 octobre, mobilisé-es pour nos salaires, nos emplois et nos conditions de travail et d’études !
Les organisations syndicales CGT- FO – FSU – Solidaires – FIDL – MNL – UNEF – UNL réunies le 30 août appellent à la mobilisation de l’ensemble des travailleur-ses du secteur privé et public, et la jeunesse, le mardi 5 octobre 2021.
Elles rappellent qu’elles ont mis en garde le gouvernement, au début de l’été, face à ses projets de régression sociale. Elles ont, à cette occasion, formulé des solutions économiques et sociales pour sortir de la crise sanitaire.
Elles s’opposent à ce que la situation sanitaire soit utilisée par le gouvernement et le patronat pour accélérer la remise en cause des droits et des acquis des salarié-es et des jeunes. L’élargissement et l’accélération indispensables de la vaccination demandent de renforcer l’accès à la santé, les moyens de l’hôpital public et de la médecine du travail. Cela nécessite de convaincre et de rassurer, et non de sanctionner les salarié-es.
En cette rentrée, l’emploi est une des préoccupations essentielles des jeunes et du monde du travail. La précarité est en forte hausse, et malgré une opposition unanime, la mise en œuvre de la réforme de l’assurance chômage reste d’actualité. Le retour de la réforme des retraites que nous avons combattue et empêchée revient à l’ordre du jour. Gouvernement et patronat veulent imposer de nouveaux reculs sur les retraites. Le chômage partiel a provoqué la plupart du temps des baisses de rémunération importantes.
Trop de salarié.es, notamment les travailleurs-ses particulièrement exposé-es et dits de « 2ème ligne », maintenu.e.s à de bas salaires ne voient aujourd’hui aucune perspective d’amélioration.
Les agent.e.s de la fonction publique attendent toujours et depuis des années des mesures salariales à la hauteur de la perte de leur pouvoir d’achat. Les jeunes ont vu l’investissement dans les aides directes baisser ces dernières années. Le dernier recul en date étant la suppression du repas à 1 euro pour toutes et tous, dont nos organisations réclament le rétablissement.
Le 18 janvier 2020, dans un monde frappé de stupeur et d’immobilisme par la pandémie, 8 organisations nationales, syndicales et associatives, publiaient une tribune intitulée « Plus jamais ça » pour appeler à la reconstruction d’un monde de justice sociale et environnementale.
Rapidement rejointes par une vingtaine d’autres organisations et associations, la dynamique collective « Plus jamais ça » a publié, le 26 mai 2020, un « plan de sortie de crise » composé de 34 mesures d’urgence soumises au débat public.
12 mois plus tard, plus d’une trentaine de collectifs locaux Plus jamais ça se sont librement organisés sur l’ensemble du territoire. Dans les conditions que nous avons tou·tes connues d’entraves de nos libertés fondamentales, ils ont organisé des luttes exemplaires pour faire la démonstration qu’un autre monde est non seulement urgent mais surtout possible : mobilisation pour le rétablissement des trains Perpignan-Rungis, contre l’installation d’entrepôts Amazon, pour l’accès de tou·tes à une alimentation saine…
Au niveau national, nous nous sommes uni·es pour faire entendre la voix de salarié ·es qui, comme à Chapelle Darblay ou à Grandpuits, ont élaboré des projets innovants, économiquement responsables et répondant à l’urgence sociale et environnementale.
Aujourd’hui, nous revendiquons un véritable plan de rupture.
Parce que l’heure n’est plus à sortir de la crise mais à rompre franchement avec tout ce qui l’a nourri et la maintient vivace : le capitalisme effréné qui détruit les emplois et les ressources naturelles, qui accentue les inégalités sociales et laisse chaque jour davantage de nos concitoyen·nes sur le bord du chemin.
Parce qu’il est urgent de rompre avec le dogme de la résilience institué par le président Macron qui promeut l’individualisme et l’adaptation quand, plus que jamais, il faut stimuler le collectif, la solidarité et nos capacités à transformer ce qui est.
Après un été mitigé côté météo,
Voici venu le temps de la reprise du boulot.
Toujours pas d’embrassades entre collègues,
Mais toujours du gel hydro-alcoolique qui pègue.
Encore 8 suppressions d’emplois ce 1er septembre,
Et une vingtaine de postes vacants.
La DDFiP des Landes s’auto-démembre,
C’est bientôt l’heure du château branlant !
Les réformes continuent d’avancer dans le temps,
C’est dur de faire le monde d’après avec les mentalités d’avant.
Heureusement, la bonne ambiance règne dans les services,
Aucun chef ne donne de tour de vis.
Les statistiques sont excellentes,
C’est grâce au management, pas aux agent.es.
Les pots de départ sont toujours interdits,
C’est bien, ça fait faire des économies.
Finalement, on vit bien avec le Covid,
Même si nos vies peu à peu se vident..
Pour lire les 4 pages conflitdefsept2021.pdf
Page 40 sur 91