Actualités

Si vous souhaitez participer au repas, n'oubliez pas de vous inscrire :pdfInvitation_AG_2025.pdf

Assemblée Générale

SOLIDAIRES Finances Publiques 62

mardi 3 juin 2025

à St Martin-lez-Tatinghem

Salle Anicet Choquet – place Cotillon Belin

En présence d’Isabelle LAURENT du Bureau National

Une Assemblée Générale pour rencontrer ou simplement découvrir notre syndicat,

NOS IDEES !!!

REJOINS-NOUS !

SOLIDAIRES Finances Publiques

C’est un collectif qui agit, une présence, une technicité reconnue,

Un syndicat qui lutte pour la justice fiscale, sociale et environnementale

Un syndicat qui lutte contre les discriminations,

SOLIDAIRES Finances Publiques

c’est la défense inconditionnelle de nos missions, du service public et des agent·es.

 

Collègues de tout le département, cette journée est VOTRE journée.

Il ne faut jamais renoncer à s’informer

Vous trouverez toujours une bonne raison pour ne pas vous absenter des services

Il ne faut surtout pas culpabiliser

La journée est couverte par une autorisation d’absence

(SIRHIUS : fonction syndicale/ assemblée générale annuelle)

Ordre du Jour :

9h00 : Accueil café, viennoiseries

9h30 : bilan d’activité de la section

rapport de Trésorerie

Actualités de la DGFiP

Élection du bureau de section

12h30 : Moment de convivialité pour toutes et tous

Venez nombreux·euses !!!!!

 

Demain, 13 mai 2025, grève fonction publique pour défendre le service public et notre pouvoir d'achat.

Manifestation à Lille, Porte de Paris, à 14h30

 

pdfTract_13_mai.pdf

Une formation sur les Procédures collectives à destination des agent·es des SIE/IFU est programmée les 12 et 13 mai. Certain·es responsables de services ont rappelé le caractère obligatoire de cette formation.

Le 13 mai est un jour d'appel à la grève Fonction Publique.

Solidaires Finances Publiques a demandé le report de cette formation ou, pour le moins, du deuxième jour.

La Direction a répondu :

"Les formations qui ont lieu un jour de grève ne sont pas automatiquement annulées et nous examinons au cas par cas si nous les maintenons ou non. En effet, l'annulation d'une journée de formation n'est pas sans conséquence en matière d'organisation; tout en précisant que des stagiaires qui étaient disponibles à la date initiale ne le sont plus en cas de report.

Cette formation de 2 jours (lundi 12 et 13 mai à Béthune) compte 13 stagiaires. La journée de lundi peut sans problème se tenir et nous pourrons, au cours de cette journée, demander aux formateurs de recenser les potentiels grévistes pour la journée du mardi.
Et en fonction de ce nombre, nous pourrons décider du maintien ou non, de la journée de mardi qui pourra, par exemple, se dérouler le mercredi si les formateurs sont disponibles.
Autre possibilité : si le nombre de grévistes est faible, on peut maintenir pour les non-grévistes, la journée de formation du mardi et demander aux grévistes de se positionner sur le 2ème journée de la seconde session prévue à Lens le jeudi 15 et vendredi 16 mai (cf. 15 stagiaires avec une volumétrie maximale de +/- 20 possibles).

En tout état de cause, une formation a, certes, un caractère obligatoire (ce qui peut justifier un refus de congé) mais cela n’empêche pas un agent de pouvoir exercer son droit de grève. C'est d'ailleurs pour cela que nous envisageons la possibilité de reporter, pour ceux qui souhaitent exercer ce droit, le second jour de formation."

Toutes et tous en grève le 13 mai pour notre pouvoir d'achat et le service public.

 

La ministre des comptes publics, Amélie de  Montchalin, a annoncé le 27 avril sa volonté de voir fusionner ou supprimer un tiers des opérateurs de l’État dans le cadre de la préparation du budget 2026. L’objectif démagogique affiché est de réduire la dépense publique de 2 % tout en améliorant l’efficacité de l’organisation de ces services publics, devenue incompréhensible, pour les français, selon la Ministre. La réalité est bien plus prosaïque : il s’agit de s’attaquer aux opérateurs qui garantissent la sécurité et fournissent des services à la population, de la protection de l’environnement à la sécurité alimentaire, des musées nationaux à Météo France, du CNRS à la protection des réfugié·es, de l’indemnisation des privé·es d’emploi à la BNF.

Bien entendu, les suppressions d’emplois ne constitueraient pas une « casse sociale » puisqu’il suffirait de ne pas remplacer les départs en retraite et de regrouper des agent·es.

Si ce n’est pas de la « casse sociale », ça y ressemble tout de même beaucoup !

Parallèlement, le gouvernement a choisi d’annuler par décret plus de trois milliards d’euros de crédits du budget 2025. Les secteurs touchés sont l’économie, l’enseignement supérieur, et la recherche.

Ces coupes sont de nouvelles saignées dans les services publics, et les annonces de la ministre des comptes publics augurent une nouvelle dégradation des services publics partout, avec pour conséquence des services moins ou même plus rendus à la population.

Les fonctionnaires sont, une fois de plus, désigné·es comme des lignes de dépense sur lesquelles des économies peuvent et doivent être réalisées.

C’est pourquoi le 13 mai il est important d’être toutes et tous en grève et en manifestation pour revendiquer pour les agent·es :

- une rémunération complète et sans jour de carence pendant les jours d’arrêt maladie ordinaire,

- le rétablissement de la GIPA,

- la revalorisation du point d’indice,

- la refonte des grilles indiciaires,

- l’égalité salariale femmes-hommes,

et pour un service public à la hauteur des besoins :

- des moyens budgétaires à la hauteur des services et des politiques publiques,

- des créations d’emplois partout où elles sont nécessaires et la titularisation des agent·es contractuel·les,

pdfTract_13_mai.pdf