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" Madame la directrice,

1 mois... C'était le temps que certains d'entre nous s'étaient donné pour juger vos actes et savoir si nous pouvions envisager d'avoir des relations humaines en toute responsabilité.

Nous constatons que la réponse est sans appel : simple porte voix descendant de la DG et engagement non respecté... Votre entrée en matière relationnelle a été remarquée et permet à tous les agents, d'ores et déjà, d'accorder peu de crédibilité à vos propos.

Concernant le sujet de l'audit effectué au SPF, vous vous étiez engagées (vous et l'équipe de direction) à transmettre aux organisations syndicales la synthèse du rapport sur la seconde quinzaine du mois de janvier. Nous aurions pu espérer, en gage de bonne foi et d'effort pour nouer un dialogue social digne de ce nom, avoir communication de cette synthèse dès le début de cette seconde quinzaine. Vous nous avez bien précisé que la quinzaine se terminait le 31 janvier...

Nous sommes le 3 février. Vous n'avez pas tenu parole. Nous osons espérer qu'il ne s'agit que d'un contre temps fort malheureux, et que nous recevrons le fruit de votre engagement très rapidement. Il en va de votre crédibilité vis à vis des organisations syndicales, et donc des agents.

Nous ne sommes plus surpris du mépris affiché par les directeurs successifs affectés au département, mais ce mode de fonctionnement où la moindre communication doit être la plus opaque possible, ne permettra jamais d'élaborer un climat sain et apaisé entre les agents et l'équipe de direction. En fonctionnant ainsi, des tensions fortes pourraient apparaître prochainement. Vous ne pourrez pas nous reprocher de ne pas vous avoir averti !! "

Le décret n° 2020-543 du 9 mai 2020 et l'arrêté interministériel du même jour instituent, à compter de l'année 2020, un « forfait mobilités durables » (FMD) au sein de la fonction publique d'État, pour les agents qui utilisent leur vélo ou ont recours au covoiturage pour se rendre de leur domicile à leur lieu de travail.

Une note départementale, envoyée ce jour à tous les agents du département, expose les modalités de mise en oeuvre de ce dispositif.

La crise sanitaire a démontré l’urgence de changer de modèle de société. Pas question qu’elle soit  instrumentalisée pour accélérer les reculs sociaux et pour continuer à accroitre les inégalités.

A la DGFIP, les réorganisations incessantes, les fermetures de services et les suppressions d'emplois tendent à créer une administration low cost dont nous ne voulons pas. Nous devons maintenir un service public de qualité, de proximité et répondant réellement aux besoins de la population. Le tout numérique et les externalisations vers le privé ne sont pas des réponses appropriées.

ENSEMBLE, FAISONS ENTENDRE NOS REVENDICATIONS !!

RASSEMBLEMENT ET MANIFESTATION

 

JEUDI 4 FÉVRIER

RDV à Perpignan

10H30Place de la Victoire (devant le Castillet)

pdfappel local.pdf

4 février

L'instruction sur l'entretien professionnel 2021 (sur la gestion 2020) des agents des catégories A, B et C est sortie au début du mois.
 
Compte tenu du contexte sanitaire actuel, vous trouverez ci-après quelques précisions :

- Les agents, ayant bénéficié en 2020 d'autorisations d'absence exceptionnelles liées à la situation sanitaire, remplissent les conditions de gestion pour être évalués en 2021. En effet, « l'autorisation d'absence contrainte particulière » (codifiée CA030 dans SIRHIUS) est considérée comme une période réelle d'activité. Elle est donc prise en compte dans le calcul du nombre minimal de jours de présence requis pour être évalué, soit 180 jours (page 20 de l'instruction).

- Par principe, l'entretien professionnel se tient en présentiel (page 66 de l'instruction), en respectant tous les gestes barrière et notamment le port du masque. Pour les  agents vulnérables à la COVID-19 et exerçant en télétravail permanent ainsi que des agents en position d'ASA COVID pendant la période des entretiens, l'entretien professionnel peut bien entendu s'effectuer en distanciel, comme cela a déjà pu se produire l'an dernier : par téléphone, par visio ou audio-conférence sous réserve de l'accord préalable des agents concernés et à condition d'assurer la confidentialité des échanges. De même, cette solution est également opportune lorsque le chef de service évaluateur est lui même  vulnérable à la COVID-19 et exerce en télétravail permanent pendant la période prévue pour les entretiens.
Cette solution dérogatoire pourra le cas échéant être étendue, au cas par cas, à d'autres situations, dans les mêmes conditions (accord de l'agent et respect de la confidentialité), si la tenue d'un entretien en présentiel pendant toute la période des entretiens s'avère compliquée à mettre en œuvre.
 
- Dorénavant, lors de l'entretien professionnel annuel, les chefs de service évaluateurs doivent assurer auprès des agents une information sur l’ouverture et l'utilisation des droits afférents au compte personnel de formation (CPF).

- Enfin, l'attention des chefs de service évaluateurs est appelée sur la nécessité de tenir compte des circonstances exceptionnelles de l'année 2020, liées à la crise sanitaire et à ses conséquences sur l'activité des agents et l'organisation du travail, pour apprécier les services rendus et les résultats obtenus par les agents au titre de cette année particulière.