Actualités

La vague de chaleur s'est installée en Gironde et bien sûr les systèmes de climatisation tombent en panne les uns après les autres. 

Il n'existe pas de texte indiquant un température maximum au-dessus de laquelle il serait interdit de travailler. Cependant, l'INRS indique:

 

  • 28 °C
    Seuil d’alerte pour un travail léger (activité physique modérée).

  • 30 °C
    Seuil d’alerte pour un travail sédentaire (bureautique, rangements, etc.).

  • 33 °C
    Danger pour la santé ! Risque de coup de chaleur, déshydratation, perte de vigilance.

Il n'est pas acceptable que la Direction laisse les agents mettre leur santé en danger. Nous ne pouvons pas nous suffir de simples préconisations. La Direction doit prendre des positions fermes: télétravail exceptionnel pour les agents exposés, audit de l'ensemble des systèmes de climatisation et stopper les réparations de bout de ficelles!

Que faire?

1/ remplir le ERRST

2/ ne pas hésiter à se rapprocher de son chef de service et du medecin de prévention 

3/ on ne prend pas de risque!!! 

 

Retrouvez également les questions liées au travail avec des températures élevées avec : il fait trop chaud au boulot en 8 questions

2025 06 20 09 49 31 Fiche 36 1VqDTi1.pdf Adobe Acrobat Reader 32 bit


pdfFiche_36_1VqDTi1.pdf

Faites nous remonter vos problèmes de climatisation!

 

Après avoir initié une pétition “budget : les sacrifices pour le monde du travail ça suffit ! “ qui a déjà rassemblé + de 200 000 signatures en 2 jours, l’intersyndicale lance une plateforme https://stopbudgetbayrou.fr/ qui décode les différentes mesures annoncées par le 1er ministre.


C’est un plan d’austérité d’une brutalité inédite : suppression de deux jours fériés, coupes dans les services publics, remise en cause du droit du travail, énième réforme de l’assurance chômage, gel des prestations sociales et celui des salaires des fonctionnaires comme des contractuel·les, désindexation des pensions de retraites, doublement des franchises médicales, remise en cause de la 5ème semaine de congés payés…

Le gouvernement a choisi de faire payer les travailleuses et les travailleurs, les précaires, les retraité·es, les malades.

Nous invitons les salarié·es, les privés d’emplois, les jeunes et les retraité·es à s’informer, à échanger et à partager cette plateforme ainsi qu'à faire signer la pétition intersyndicale pour demander l’abandon immédiat de ces mesures.

 

Screenshot 2025 07 25 10 51 22.max 848x1200.format webp

Solidaires a rencontré le ministre de la fonction publique Laurent Marcangeli ce 22 juillet. Cette rencontre était bien entendu l’occasion de lui indiquer toute notre colère face aux grandes lignes du futur budget annoncé la semaine dernière par le Premier Ministre qui apparaît comme une attaque insupportable contre les droits sociaux et l’ensemble de la population.

Le 8 juillet, le journal Le Monde a publié un article concernant la vague de suicides qui secoue depuis le début de cette année notre administration prouvant ainsi que nul ne doit et ne peut désormais ignorer que le mal être est de plus en plus grandissant à la DGFIP. Nul ne peut et ne doit ignorer le nombre important de suicides et de tentatives de suicides (12 suicides, 9 tentatives depuis le 1er janvier) dans notre administration.

Si nous sommes conscients que ces drames sont dus à de multiples facteurs, il nous paraît choquant de vouloir écarter d’office la responsabilité de l’administration en partant systématiquement du principe que le suicide ou la tentative de suicide ne relève que de raisons personnelles ou de facteurs liés à une pseudo-fragilité des agentes et agents. Et c'est à nouveau ce que vient de faire Eric Lombard, Ministre de l'Économie et des Finances, en déclarant, sans aucune enquête préalable, que « (ces situations) ne sont pas liées à des raisons ni d’organisation, ni de charge de travail, ni de management ».