Actualités

Depuis l'attribution de la prime Covid à un nombre limité de collègues (30 % maxi), plusieurs agent.es ont contacté Solidaires Finances Publiques car ils et elles ne comprennent pas les raisons de leur exclusion du dispositif malgré leur "réquisition" dès le mois de mars.

Solidaires Finances Publiques, après avoir examiné les différentes situations, demande donc des explications publiques au Directeur :

"Puisque l'attribution reposait sur 2 critères officiels (inscription de l'agent au PCA et présence sur site) mais que le nombre de primes attribué au département n'a pas permis, selon vous, de l'affecter à tous les agents "cochant" ces 2 critères, quels ont été les critères rééls et officieux que vous avez appliqués, tant pour les 330 € que pour les 1 000 ?"

En complément de cette interpellation, Solidaires Finances Publiques invite tous les agent.es lésé.es à s'adresser par courrier au directeur et à transmettre une copie au syndicat.

Modèles de lettre et tract national : https://solidairesfinancespubliques.org/vie-des-agents/carriere/remuneration/3471-de-prime-es-des-explications-s-imposent.html

Ce comité technique local était le premier qui se tenait depuis le début de la crise sanitaire liée à l’épidémie de la COVID 19. Son ordre du jour en était conséquent avec pas moins de 7 points évoqués : - Bilan de la crise sanitaire et ses impacts sur l’activité de la DDFIP 40 - Point d’actualité sur l’accueil du public - Point d’actualité sur le Nouveau Réseau de Proximité et la démétropolisation - Aménagement des horaires d’ouverture de SABRES - Présentation du bilan budgétaire 2019 et exécution au 31 mai 2020 - Présentation du tableau de bord de veille socialement - Questions diverses dont le contrat d’objectifs et de moyens 2020-2022 Tous ces points étant présentés de façon informelle avec des documents, comme d’habitude, très « généraux ».

Le quorum étant atteint, le président a ouvert ce CHS, première réunion du dialogue social à se tenir en présentiel depuis le confinement. La représentation syndicale a été limitée aux nombres de titulaires et de suppléants, les experts ne pouvaient venir qu'en lieu et place des membres habituels. L'ordre du jour commence par l'approbation des PV, une seule remarque d'une organisation syndicale demandant à ce que les annexes (déclarations liminaires) soient jointes au PV pour leurs validations. Le point suivant concerne la situation des effectifs au 24 juin. Très peu d'agent sont encore empêchés et ceux qui ne peuvent pas télétravailler pour cause d'internet défaillant seront éventuellement équipés de clé 4G. Le télétravail a été largement abordé mais aucune décision n'a pu être envisagée au vu des nombreux cas et des différentes contraintes des agents mais aussi de la direction. Le médecin de prévention est intervenu sur les retours des agents sur le télétravail et nous a expliqué que certains l'avaient très bien vécu et d'autres étaient en souffrance. Le véritable impact du télétravail ne pourra être constaté qu'après une période plus longue a t il indiqué. Les représentants Solidaires finances publiques ont insisté sur le traitement du télétravail au cas par cas en foncton du ressenti de chacun et toujours sur la base du volontariat.

Le premier CDAS de l’année s’est tenu ce jour en audio puisque celui du 17 mars a été annulé en raison du COVID. La communication a été difficile, les échanges étaient difficilement audibles. Note d’orientation : Après approbation du PV du 5 novembre 2019, le comité a présenté l’ordre du jour. Les crédits de l’action sociale sont constants au niveau national ainsi qu’au niveau local. Une fois de plus, le budget est amputé d’une réserve qui s’élève cette année à 6 %. La déléguée à l’action sociale n’est pas optimiste quant à la libération de cette réserve cette année. Pour rappel, l’année dernière, 2 % des 5 % retenus avaient pu être récupérés. Les orientations nationales et locales demeurent la restauration, le logement, la parentalité, les loisirs, avec une communication plus efficiente auprès des agents. Nous rappelons d’ailleurs qu’il existe une subvention sous conditions de ressources pour séjours d’enfants (notamment centre de loisirs). L’activité de l’action sociale s’est poursuivie pendant le confinement malgré des modalités particulières liées au confinement (télétravail, téléphone). La déléguée ainsi que l’assistante sociale nous ont dévoilé leur activité pendant cette période et leur bilan de sortie de crise. La recherche de logements pour les nouveaux arrivants est une nouvelle activité depuis 2 ans qui concerne 20 % de ces agents.