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Question dIA

Salut à toutes et tous

Pour s’inscrire dans le débat général, et d’actualité, sur l’IA, nous avons posé une question simple à plusieurs de ces IA génératives : « Peux-tu me donner les principales revendications de Solidaires Finances Publiques »

Voici ce que les IA génératives occidentales répondent :

Réponse de CHATGPT :

Solidaires Finances Publiques, premier syndicat unifié de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), défend un service public de qualité, accessible à tous et présent sur l'ensemble du territoire. Ses principales revendications s'articulent autour des axes suivants :

  • Justice fiscale et sociale : Le syndicat milite pour une réforme fiscale favorisant une répartition équitable des richesses, la lutte contre la fraude et l'évasion fiscales, et une meilleure progressivité de l'impôt sur le revenu.

  • Défense des missions et des emplois à la DGFiP : Solidaires Finances Publiques s'oppose aux suppressions de postes et aux réductions budgétaires qui affectent les conditions de travail des agents et la qualité du service rendu au public. Le syndicat revendique le maintien et le renforcement des effectifs pour assurer efficacement les missions de la DGFiP.

  • Amélioration des conditions de travail et des rémunérations : Le syndicat demande une revalorisation des salaires, une reconnaissance des qualifications et une progression de carrière équitable pour les agents des finances publiques. Il plaide également pour l'amélioration des conditions de travail, notamment en matière de santé et de sécurité au travail.

  • Promotion d'un service public de proximité : Solidaires Finances Publiques défend une DGFiP présente sur tout le territoire, garantissant un accès égalitaire aux services publics pour tous les citoyens, et s'oppose aux fermetures de services locaux qui entraînent une dégradation de l'accueil et du service rendu.

Ces revendications traduisent l'engagement de Solidaires Finances Publiques en faveur d'une administration fiscale juste, efficace et au service de l'intérêt général.

Réponse de LE CHAT :

 

Numéro spécial Eval Pro

Comme rappelé par courriel du DRH de la DIRCOFI NA, les entretiens professionnels doivent se tenir entre le 29 janvier et le 28 mars 2025. Revenons donc à ce sujet sur quelques éléments qui figurent dans le « support pédagogique de l’évaluateur » :

À la page 8, on trouve par exemple : L’évaluation est « source de tension eu égard à la part croissante du CREP dans le parcours professionnel. L’évaluation est un levier incontournable pour :

  • la promotion interne/sélection/concours et examens professionnels,

  • le recrutement sur postes « au choix » à la DGFIP,

  • la mobilité externe. »

Puis, à la page 13 :

« L’entretien doit être réalisé dans un contexte apaisé, centré uniquement sur la valeur professionnelle de l’agent. Les difficultés (relations interpersonnelles difficiles, management inadapté, …) doivent être gérées au plan local par le SRHD et les acteurs de prévention par un accompagnement anticipé et adapté. »

À la page 22 sont résumés les « fondamentaux de l’entretien professionnel », parmi lesquels on trouvera :

  • Écoute active, Empathie, Calme et serein,

  • Communiquer positivement.

Enfin, à la page 28, est précisé que « la relation professionnelle s’inscrit dans le respect, le CREP se doit d’être rédigé avec bienveillance, dans une démarche constructive et sereine pour une qualité de vie au travail pour tous. »

Alors, si votre entretien ne se déroule pas dans ces bonnes conditions, rapprochez-vous immédiatement de vos élus Solidaires Finances Publiques pour vous défendre si nécessaire.

Quelques petits rappels des différentes étapes :

age du patrimoine

Salut à toutes et tous.

Nous vous invitons à lire, à titre d’illustration de notre article Drôle de galette des Rois !!, cette note de la DGFiP concernant les revenus et patrimoines des foyers les plus aisés en France qui renforce les constats et analyses de notre syndicat Solidaires Finances Publiques, ainsi que ceux d’un certain nombre d’économistes.

Car, une fois de plus, le constat est sans appel :

Les ultra-riches sont de plus en plus riches,

Les inégalités se creusent et l’impôt est de moins en moins progressif et redistributif.

Cette note s’appuie sur les déclarations d’impôt sur le revenu, d’impôt sur la fortune, d’impôt sur la fortune immobilière, et de taxe foncière entre 2003 et 2022.

Les foyers à très hauts revenus, ceux qui appartiennent aux 0,1 % les plus riches en France (40 700 foyers en 2022) ont vu leur revenu annuel moyen augmenter plus vite (+119 %!) que celui du reste de la population : il est passé de 469 000 euros en 2003 à 1 M€ en 2022.

Quant aux 0,1 % des foyers qui ont les patrimoines les plus élevés : leur patrimoine moyen a presque doublé sur la même période, il est passé de 5,3 M€ à 10,2 M€.

Sur cette même période, le taux d’imposition moyen des foyers aux très hauts revenus a baissé.

Par ailleurs, on apprend que les revenus de ces foyers sont composés majoritairement de revenus de capitaux mobiliers (43 %) et seulement à 39 % de traitements, salaires, pensions et de retraites contre 90 % pour le reste de la population.

Cette analyse montre que la situation de la population la plus aisée en France est plutôt cohérente avec celle du reste du monde étudiée par Oxfam. Dans son dernier rapport, l’association écrit que « Depuis 2020, les cinq hommes les plus riches du monde ont doublé leur fortune tandis que, dans le même temps, la richesse cumulée de 5 milliards de personnes a baissé ».

En pleine discussion budgétaire, l’étude de la DGFiP devrait alerter le gouvernement et les élus nationaux sur la fiscalité qui devrait être, selon nous, un outil de répartition des richesses. C’est la condition nécessaire pour plus de justice fiscale, sociale et environnementale.

À l’exact opposé des politiques fiscales des gouvernements successifs sous Macron qui ont mis en place, entre autres, le prélèvement forfaitaire unique et supprimé l’ISF, Solidaires Finances Publiques revendique :

  • Un impôt sur le revenu plus progressif basé sur une assiette plus large,

  • La suppression des niches fiscales qui n’ont pas prouvé leur utilité sociale, que ce soit pour les particuliers ou les entreprises,

  • La suppression du prélèvement forfaitaire unique sur les revenus mobiliers  : les revenus du capital doivent être imposés comme les revenus du travail,

  • En matière patrimoniale, il faut le retour à un véritable impôt sur la fortune immobilière et mobilière avec un seuil d’imposition plus bas, une assiette plus large, plus de progressivité et là aussi un audit des niches fiscales,

  • La mise en place d’un cadastre financier : registre, calqué sur le modèle du cadastre foncier, qui permet de connaître, en temps réel, le patrimoine financier des personnes physiques comme porté par Thomas Piketty,

  • Les droits de succession doivent aussi être revus pour plus d’égalité.

D’autres choix politiques et fiscaux sont possibles

pour réduire les inégalités.

Solidaires Finances Publiques continuera à porter ses analyses sur l’ensemble de la fiscalité, pour plus de justice fiscale, sociale et environnementale !

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A la FS-SSCT du 04 juillet 2024, les représentants du personnel ont voté à l’unanimité une délibération demandant au président de recourir dans les plus brefs délais à la procédure d’expertise certifiée prévue à l'art. 66 du décret de 2020 et à l'art. 44 du RI DGFIP de 2024.

En effet, les représentants du personnel ont voté à plusieurs reprises au cours des instances qui se sont tenues en 2023 et 2024 des demandes de mise en œuvre de véritables mesures de préventions sur les RPS, comme le lancement d’une campagne « Stress, harcèlement, agression, burn-out … les RPS, en parler pour en sortir » basée sur les travaux de l’INRS, ou encore le cofinancement par la FS-SSCT de conférences menées par un psychologue du travail sur les RPS et les moyens de les prévenir.

Car, forts des constats opérés en termes de dangers pour la santé des agents de la DIRCOFI Nouvelle-Aquitaine, dans un premier temps sur le DUERP 2023, puis lors des visites de services par la FS-SSCT, où, dans 3 services, au moins un Burn-Out dû au travail a été constaté, et un accident de service en raison d’un choc émotionnel suite à entretien avec un chef de service, les élus ont, dès le début 2023, analysé que les mesures de prévention actuelles à la DIRCOFI Nouvelle-Aquitaine étaient insuffisantes pour lutter efficacement contre le fléau des RPS dans tous les services et brigades.

Face aux refus répétés du directeur de donner une suite favorable à nos demandes votées en 2023 et 2024, à l’unanimité et dans le seul intérêt des agents, nous avons été contraints d’entrer dans la procédure d’expertise prévue au titre de l’article 66 du décret.

Ainsi, lors de la séance du 10 octobre 2024, les élus ont constaté le « désaccord sérieux et persistant entre les représentants du personnel et le président de la FS, la procédure prévue à l’article 5-5 du décret n° 82-453 du 28 mai 1982 relatif à l’hygiène et à la sécurité du travail, est mise en œuvre dans un délai d’un mois : l’inspection du travail n’est saisie que si le recours à l’ISST n’a pas permis de lever le désaccord. »

Les élus ont demandé à l’unanimité à l’Inspecteur Santé et Sécurité de les aider à lever le désaccord sur les constats et les moyens pour, enfin, mettre en œuvre de nouvelles mesures de prévention des RPS à la DIRCOFI Nouvelle Aquitaine.

Les élus réaffirmaient ainsi que cette expertise devait avoir pour objet d’étudier à l’aide de tous les moyens nécessaires (documents à la disposition des services RH, questionnaire, entretiens, visites, …), les expositions aux Risques Psychosociaux (RPS) dans tous les services de la DIRCOFI Nouvelle Aquitaine, brigades et direction.

Elle devrait être menée par un expert certifié en psychologie sociale et / ou psychologie du travail.

Les résultats de cette étude devraient être transmis aux membres de la FS-SSCT afin de dégager les meilleures propositions de prévention des RPS au bénéfice de la santé de tous les agents.

L’ISST, constatant en séance le 10 octobre 2024 que le désaccord persistait, a invité le président de la FS-SSCT à mettre en œuvre la procédure prévue aux articles 66 du décret de 2020 et 5-5 du décret du 28 mai 1982, par la saisine dans les délais légaux de l’inspection du travail.

Un courrier a ainsi été envoyé le 22 octobre 2024 par le président de la FS-SSCT, agissant en tant que directeur de la DIRCOFI Nouvelle-Aquitaine, au Directeur régional de la DREETS de Nouvelle-Aquitaine, pour demander la mise en œuvre de la procédure prévue à l’article 5-5 du décret n° 82-453 du 28 mai 1982, en application de l’article 66 du décret 2020-1427 du 20 novembre 2020.

Les représentants du personnel souhaitent dès lors connaître la réponse des services de la DREETS qui ont été saisis, ainsi que le contenu et le calendrier des interventions prévues s’ils ont été communiqués.

Dans l’hypothèse où aucune suite n’aurait été donnée à ce jour, les représentants du personnel à la FS-SSCT se réservent la possibilité de contacter directement les services de la DREETS pour connaître les suites qu’ils envisagent donner à cette requête légale.

Réponse de la Direction :